Prendre des photos en hiver n'est pas toujours facile. Il faut une journée ensoleillée et un climat tempéré. Vous devez absolument porter de bons vêtements chauds et deux paires de gants spécifiques à la photographie dont une plus chaude que l’autre.
Cette première photo montre, aussi, un troisième critère pour faire une belle photo en hiver : une piste sécuritaire, pas trop glissante!
L'étang du parc Assiniboine, prêt pour le patinage, est un endroit idéal, car la piste autour de l'étang est toujours déneigée pour la sécurité des visiteurs. Cet étang, habité par des canards en été, a été doublement agrandi en 2011.
J'aime beaucoup prendre des photos à travers « un écran », tel que les arbustes sans feuilles qui couvrent partiellement le
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pavillon en arrière. Ce majestueux pavillon, qui date de 1930, le banc, seul dans la neige, et l'étang du patinage, composent la photo dans son entier. Quel paysage tranquille et attrayant!
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« La Saint-Valentin, c'est ma fête préférée. La Saint-Valentin, le plus beau jour de l'année », dit la chanson de Jacques Chauvin.
Quand j'étais professeur de français pour débutants, et professeur en immersion, on a fêté la Saint-Valentin avec classe. Cette photo, prise dans l'établissement Chocolatier Constance Popp à Saint-Boniface, en février 2019, m'a fait penser à cette belle chanson, ainsi qu'à mes salles de classe décorées de cœurs rouges.
Prendre une photo en faisant face à une fenêtre pose toujours un risque; trop de lumière va produire une photo sans détails, mais les cœurs en papier rouge,
ainsi que les ceintures fléchées dans la vitrine ajoutent des détails bien visibles.
Les bâtiments du côté nord du boulevard Provencher ajoutent une touche finale à cette photo.
Qui peut penser au mois de février à Winnipeg sans penser au Festival du Voyageur? Pas moi, c'est certain! En février 2019, le plus grand festival d'hiver dans l'ouest du Canada a fêté son 50e anniversaire. Les sculptures sur neige, dont la compétition internationale a lieu durant le festival, étaient magnifiques. Cette sculpture, sur le boulevard Provencher, m'a fait penser à ces années où tout se passait sur « le boulevard » et dans le parc Provencher.
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Assister au festival faisait partie de ma formation en français, étant adulte. Entre suivre des cours au CUSB (USB maintenant), assister aux sessions d'été à Jonquière au Québec et participer aux activités pour enseignants organisées par la Division scolaire Transcona-Springfield (merci Odile Dubé), ma formation comme enseignant de français langue seconde m'a laissé des souvenirs pour toujours. Je me souviens des estrades situées sur plusieurs coins de rue, sur le boulevard Provencher, avec des groupes comme Les Louis Boys! Qu'on a chanté! Qu'on a dansé! Hé! Ho!
